Me pregunto dos cosas: ¿por qué "Las venas abiertas" de Eduardo Galeano no es el libro de texto de la clase de historia en cada escuela secundaria de América latina? ¿Los compradores de Ipiales lo han leído? En la parte lojana de mi familia tenemos un dicho sobre "un candelero" y "cada quien" que mejor no les digo completo... compre donde bien pueda, pero lea para que sepa que el precio sí es más alto aunque no se note.
sábado, 18 de junio de 2016
lunes, 13 de junio de 2016
lunes, 6 de junio de 2016
“Inspiración”
Marcus Bressler – Piano (Suecia-Ecuador)
Lenin Izquierdo – Percusión (Ecuador)
Bjarke Lund – Guitarra (Dinamarca-Ecuador)
Vanessa Padilla – Canto (Ecuador-Francia)
Luis Quiroz – Bajo (Ecuador)
viernes, 3 de junio de 2016
« La gratitude de l’oiseau »
« ...Tu ne me voles rien quand tu rêves
de moi,
J’ offre seulement mon cœur comme qui offre une perle.
Le temps de je ne sais combien de vies
a fait cettenacre qui dans ton rêve brille... »
L'oiseau offre sa mélodie et s’en va.
Autant d’essais manqués
pour arriver à la hauteur – encore plusieurs tentatives vouées à l’échec,
et malgré cela, il s’offre au soleil en étendant bien les ailes,
en donnant son chant et en acceptant l’abri qui lui est donné.
Oui, la distance brûle,
Et bien que le chant augmente la douleur,
J’ offre seulement mon cœur comme qui offre une perle.
Le temps de je ne sais combien de vies
a fait cettenacre qui dans ton rêve brille... »
L'oiseau offre sa mélodie et s’en va.
Autant d’essais manqués
pour arriver à la hauteur – encore plusieurs tentatives vouées à l’échec,
et malgré cela, il s’offre au soleil en étendant bien les ailes,
en donnant son chant et en acceptant l’abri qui lui est donné.
Oui, la distance brûle,
Et bien que le chant augmente la douleur,
Chanter rime si bien
avec aimer, rêver ...
sentir, (même si la rime semble incertaine)
avec vivre et exister...
« Tibiruri, tibiruri... tuirup tuirup...
Celle qui a été parti n'est plus la même
-dit la Pájarapinta avec son blanc veil-
La gratitude a remplacé l'ego
La nostalgie à l’anxiété
Moins terrestre, plus éthéré,
Plus pájara ... et plus pinta".
Je ne vole nulle part
où mon cœur ne m’ait dirigé.
Oui, je sais où est mon berceau,
oui, je sais où je tricote mon nid.
Quelle distance triste
celle de qui était loin et ne vole ni ne chante plus.
Et la distance qui est déjà triste...
L'oiseau retourne toujours
là où il a rencontré l'amour
à-dire:«Merci, Dieu-vous-paie, pay...
Je ne suis pas parti pour partir,
... Je suis seulement parti pour rentrer.
« Merci » chant-il« tuirup tuirup »...
l’oiseau offre son cœur et s’en va.
Vanessa Padilla. 2016
Correction de la versionfrançaise: Laetitia HARCOUR
sentir, (même si la rime semble incertaine)
avec vivre et exister...
« Tibiruri, tibiruri... tuirup tuirup...
Celle qui a été parti n'est plus la même
-dit la Pájarapinta avec son blanc veil-
La gratitude a remplacé l'ego
La nostalgie à l’anxiété
Moins terrestre, plus éthéré,
Plus pájara ... et plus pinta".
Je ne vole nulle part
où mon cœur ne m’ait dirigé.
Oui, je sais où est mon berceau,
oui, je sais où je tricote mon nid.
Quelle distance triste
celle de qui était loin et ne vole ni ne chante plus.
Et la distance qui est déjà triste...
L'oiseau retourne toujours
là où il a rencontré l'amour
à-dire:«Merci, Dieu-vous-paie, pay...
Je ne suis pas parti pour partir,
... Je suis seulement parti pour rentrer.
« Merci » chant-il« tuirup tuirup »...
l’oiseau offre son cœur et s’en va.
Vanessa Padilla. 2016
Correction de la versionfrançaise: Laetitia HARCOUR
“La gratitud del pájaro”
“… no robas nada de mí cuando me sueñas,
sólo ofrezco el corazón como quien ofrece una perla.
El tiempo de qué sé yo cuántas vidas
ha hecho este esmalte que en tu sueño brilla…”
Ofrece el pájaro su melodía y se va.
Tantos intentos fallidos
para alcanzar la altura de aún más intentos por fallar,
pero igual se ofrece al sol estirando bien las alas,
dando canto y recibiendo abrigo.
Sí, la distancia quema,
Y aunque el canto acreciente la pena,
cantar bien rima con amar, con soñar…
con sentir, (aunque no parezca cierto)
con vivir y existir...
“Tibiruri, tibiruri… tuirup tuirup…
La que se fue no es la misma
-dice la Pájarapinta con su velo blanco-
La gratitud reemplazó al ego
La nostalgia a la ansiedad
Menos terrenal, más etérea,
Más pájara… y más pinta”.
No vuelo rumbo a ningún lado
que no me dicte el corazón.
Sí sé donde queda mi cuna,
sí sé donde tejo mi nido.
Qué distancia triste
la del que estando lejos ni vuela ni canta.
Y la distancia que ya es triste…
El pájaro siempre vuelve
adonde conoció el amor
para decir: “gracias, Dios-le-pague, pay…
No me fui para irme,
… sólo me fui a volver”.
“Gracias -dice cantando- tuirup tuirup…”
Ofrece el pájaro su corazón y se va.
Vanessa Padilla . 2016
miércoles, 1 de junio de 2016
ARTS VISUELS
"LA GRATITUDE DE L'OISEAU"
Du 2 juin au 15 juillet
L'artiste franco-équatorienne Vanessa Padilla
a l'honneur de présenter ses œuvres au Salon Evidencias de l’Ambassade
de l’Equateur en France dans le cadre du programme culturel Evidencias
31, pour la promotion des artistes équatoriens.
Vanessa Padilla
est née à Quito en 1982, et réside à présent à Auvers sur Oise en
France. Elle est artiste, mais aussi éducatrice. Initiée au monde de
l'art, de la musique et la littérature depuis son plus jeune age, Van
Gogh, Cézanne mais aussi Cortázar, Galeano, ou Dora Alonso sont
désormais ses plus grandes références.
L'artiste, introduit dans
sa production artistique une dimension musicale et littéraire en tant
qu'éléments fondamentaux de son œuvre. Vous pourrez le découvrir dans
ses 9 tableaux, ainsi qu'un poème, exposés à l'Ambassade de l'Equateur.
Entrée libre
Salon Evidencias
34, Avenue de Messine
75008, Paris
Du lundi au vendredi
9h30 à 13h00- 14h30 à 18h00
Salon Evidencias
34, Avenue de Messine
75008, Paris
Du lundi au vendredi
9h30 à 13h00- 14h30 à 18h00
Contact: 01.45.61.10.21
Evénement organisé par l'Ambassade de l'Equateur
1 de junio
A todititos:
Feliz día, que el corazón se sorprenda y ame con la transparencia de los niños
Feliz día, que el corazón se sorprenda y ame con la transparencia de los niños
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Despedida
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