viernes, 23 de marzo de 2018
Bitácora
Porque según los testimonios de mis estudiantes la danza jazz nos permite "divertidarse y exprimarse"
lunes, 19 de marzo de 2018
« La
gratitude de l’oiseau »
« ...Tu ne me voles rien quand tu rêves de moi,
J’ offre seulement mon cœur comme qui offre une perle.
Le temps de je ne sais combien de vies
a fait cette nacre qui dans ton rêve brille... »
L'oiseau offre sa mélodie et s’en va.
Autant d’essais manqués
pour arriver à la hauteur – encore plusieurs tentatives vouées à l’échec,
et malgré cela, il s’offre au soleil en étendant bien les ailes,
en donnant son chant et en acceptant l’abri qui lui est donné.
Oui, la distance brûle,
Et bien que le chant augmente la douleur,
« ...Tu ne me voles rien quand tu rêves de moi,
J’ offre seulement mon cœur comme qui offre une perle.
Le temps de je ne sais combien de vies
a fait cette nacre qui dans ton rêve brille... »
L'oiseau offre sa mélodie et s’en va.
Autant d’essais manqués
pour arriver à la hauteur – encore plusieurs tentatives vouées à l’échec,
et malgré cela, il s’offre au soleil en étendant bien les ailes,
en donnant son chant et en acceptant l’abri qui lui est donné.
Oui, la distance brûle,
Et bien que le chant augmente la douleur,
Chanter rime si bien
avec aimer, rêver ...
sentir, (même si la rime semble incertaine)
avec vivre et exister...
« Tibiruri, tibiruri... tuirup tuirup...
Celle qui a été parti n'est plus la même
-dit la Pájarapinta avec son blanc veil -
La gratitude a remplacé l'ego
La nostalgie à l’anxiété
Moins terrestre, plus éthéré,
Plus pájara ... et plus pinta".
Je ne vole nulle part
où mon cœur ne m’ait dirigé.
Oui, je sais où est mon berceau,
oui, je sais où je tricote mon nid.
Quelle distance triste
celle de qui était loin et ne vole ni ne chante plus.
Et la distance qui est déjà triste...
L'oiseau retourne toujours
là où il a rencontré l'amour
à-dire: « Merci, Dieu-vous-paie, pay...
Je ne suis pas parti pour partir,
... Je suis seulement parti pour rentrer.
« Merci » chant-il « tuirup tuirup »...
l’oiseau offre son cœur et s’en va.
Vanessa Padilla. 2016
Correction de la version française: Laetitia HARCOUR
sentir, (même si la rime semble incertaine)
avec vivre et exister...
« Tibiruri, tibiruri... tuirup tuirup...
Celle qui a été parti n'est plus la même
-dit la Pájarapinta avec son blanc veil -
La gratitude a remplacé l'ego
La nostalgie à l’anxiété
Moins terrestre, plus éthéré,
Plus pájara ... et plus pinta".
Je ne vole nulle part
où mon cœur ne m’ait dirigé.
Oui, je sais où est mon berceau,
oui, je sais où je tricote mon nid.
Quelle distance triste
celle de qui était loin et ne vole ni ne chante plus.
Et la distance qui est déjà triste...
L'oiseau retourne toujours
là où il a rencontré l'amour
à-dire: « Merci, Dieu-vous-paie, pay...
Je ne suis pas parti pour partir,
... Je suis seulement parti pour rentrer.
« Merci » chant-il « tuirup tuirup »...
l’oiseau offre son cœur et s’en va.
Vanessa Padilla. 2016
Correction de la version française: Laetitia HARCOUR
“La gratitud del pájaro”
“… no robas nada de mí cuando me sueñas,
sólo ofrezco el corazón como quien ofrece
una perla.
El tiempo de qué sé yo cuántas vidas
ha hecho este esmalte que en
tu sueño brilla…”
Ofrece el pájaro su melodía y
se va.
Tantos intentos fallidos
para alcanzar la altura de aún más intentos por fallar,
pero igual se ofrece al sol estirando bien las alas,
dando canto y recibiendo abrigo.
Sí, la distancia quema,
Y aunque el canto acreciente la pena,
cantar bien rima con amar, con soñar…
con sentir, (aunque no parezca cierto)
con vivir y existir...
“Tibiruri, tibiruri… tuirup tuirup…
La que se fue no es la misma
-dice la Pájarapinta con su velo blanco-
La gratitud reemplazó al ego
La nostalgia a la ansiedad
Menos terrenal, más etérea,
Más pájara… y más pinta”.
No vuelo rumbo a ningún lado
que no me dicte el corazón.
Sí sé donde queda mi cuna,
sí sé donde tejo mi nido.
Qué distancia triste
la del que estando lejos ni vuela ni canta.
Y la distancia que ya es triste…
El pájaro siempre vuelve
adonde conoció el amor
para decir: “gracias, Dios-le-pague,
pay…
No me fui para irme,
… sólo me fui a volver”.
“Gracias -dice cantando- tuirup tuirup…”
Ofrece el pájaro su corazón y
se va.
Vanessa Padilla . 2016
lunes, 12 de marzo de 2018
Cronopios y esperanzas
En la clase de español un estudiante me pregunta:
-Vane ¿podría incluir cronopios a mi historia?
miércoles, 7 de marzo de 2018
Gringa
Cuando en la clase de español una estudiante en su presentación oral dice:
-"... la cantante americana..."
otra estudiante la interrumpe:
-no se dice americana, se dice gringa...
Feliz cumpleaños papi
Qué bien hemos elegido al taita y a la mama. Feliz cumpleaños Mentitor.
sábado, 3 de marzo de 2018
...
Sobre un viaje para el que faltan muuuuchos meses todavía:
-pero no vas a traerle a tu coneja ¿no cierto?
-pero no vas a traerle a tu coneja ¿no cierto?
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Despedida
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